Braavoo

Voici un classement effectué par Symantec des termes les plus recherchés divisé en 3 catégories, vous allez voir, c'est assez surprenant.

Chez les moins de 7 ans.
1. Youtube
2. Google
3. Facebook
4. Porno
5. Club Penguin
6 Yahoo

Chez les 8-12 ans.
1. Youtube
2. Google
3. Facebook
4. Sexe
5. Club Penguin
6. Youtube.com

Chez les 13-18 ans.
1. Youtube
2. Facebook
3. Google
4. Sexe
5. MySpace
6. Porno

Par ailleurs, j'imagine que ces mots clés ont été saisis dans un moteur de recherche, et partant du principe que le plus utilisé

Le site internet Twitter sera rentable en 2009 pour la première fois grâce aux accords signés avec Google et Microsoft leur permettant d'intégrer en temps réel ses mini-messages aux résultats de leurs moteurs de recherche, affirmait lundi le magazine BusinessWeek.

L'accord conclu avec Google rapporte 15 millions de dollars à Twitter et celui avec Microsoft 10 millions, selon BusinessWeek.

"Les accords sont énormes" et rapportent suffisamment d'argent à Twitter pour lui permettre de dégager un petit profit en 2009, pour la première fois depuis son lancement en août 2006, soulignent des sources proches du dossier citées par BusinessWeek. Twitter doit également ces résultats à une politique de réduction des coûts.

Les accords permettent aux deux géants américains d'intégrer en temps réel à leurs moteurs de recherche, Google et Bing, les actualisations des micro-blogs Twitter. Le site de socialisation, qui permet de publier des messages de 140 caractères maximum, revendique plus de 50 millions d'utilisateurs.

Twitter explore actuellement différentes pistes pour gagner de l'argent, comme la vente de comptes "premium" aux entreprises.

                        

Très simple et épurée à ses débuts (il y a près de 10 ans), la page d'accueil de Google a vu son contenu "s'alourdir" par divers textes en haut et en bas, même si elle reste toujours très légère. Le célèbre moteur de recherche vient cependant de modifier l'affichage de sa page d'accueil, dont Google.fr (mais aussi .be, etc.).

Comme vous pouvez le voir, seul le strict minimum s'affiche dans un premier temps (capture de gauche) : le logo de Google, le champ de la recherche et les deux boutons de recherche. Les liens en bas et en haut, ainsi que les options sur le côté et juste en-dessous des recherches ne s'affichent que si vous bougez la souris. En somme, si vous réalisez directement une recherche (sans utiliser la souris donc), seule la capture de gauche s'affichera, et non celle de droite.

Google test actuellement pour sa version anglaise une toute nouvelle interface de son moteur de recherche. Entre flashy design et nouvelles fonctionnalités, en route vers un nouveau Google !

Google et sa nouvelle interface

Est-ce qu'une révolution est en marche du coté de chez Google ?
Il semble s'agir là d'une refonte graphique (une influence du moteur de recherche BING) et d'un enrichissement des options de recherches dans la page de résultat aussi appelé SERP (Influence de Yahoo ?).

Après des années sans réels modifications, Google s'essaye à de nouvelles couleurs et à une interface plus complète empruntant à ses rivaux Bing et Yahoo quelques petites touches de modernité...

Comment tester la nouvelle interface de Google ?

Pour essayer la nouvelle interface, il faut activer un cookie sur la version anglaise de Google.
Première étape : Lancer la version US de Google. Une fois sur l'interface anglaise, entrez ceci dans la barre d'url :

javascript:void(document.cookie="PREF=ID=20b6e4c2f44943bb:
U=4bf292d46faad806:TM=1249677602:
LM=1257919388:S=odm0Ys-53ZueXfZG;path=/; domain=.google.com");

Seconde étape : Appuyez sur enter et quittez votre navigateur usuel. Ouvrez le de nouveau et rendez-vous sur Google.com
Un design flashy et des boutons bleu sont le signe que la manipulation a fonctionné.

Résultat de recherche Google avec la nouvelle interface

Le résultat avec la requête VDP Digital création de site Nice

Comment revenir à l'ancienne interface ?

L'interface anglaise (et ses résultats forcement moins francophone) ne vous plaise pas ? Pour revenir à l'interface traditionnelle de Google, il suffit de supprimer les cookies de votre navigateur

En mai, le site de téléchargement de fichiers torrents Mininova.org avait annoncé

que les recherches seraient filtrées

afin qu'un fichier supprimé pour des raisons légales ne puisse être renvoyé par la suite. Cette marque de bonne volonté a sans doute contribué à convaincre la cour que Mininova n'est pas directement responsable du piratage de fichiers, mais n'a pas empêché l'obligation de supprimer tous les liens pointant vers du contenu illégal sous peine d'une amende de 5 millions d'euros.

Mininova n'avait donc pas d'autre choix que de supprimer tous les torrents illégaux de son moteur de recherche, et a

finalement décidé de le fermer

. La raison invoquée est l'absence de solution technique pour permettre le filtrage, mais on se doute que le peu d'intérêt d'un moteur de recherche de fichiers légaux doit avoir joué également.

Mininova évalue la possibilité d'aller en appel. En attendant,

des dizaines d'autres sites

tentent de séduire les anciens utilisateurs du moteur. Il faut dire que Mininova

reste un succès

, de 600.000 euros en 2006, la compagnie a ramassé plus d'un million d'euros en 2007, avec seulement 5 employés.

Les revenus de Mozilla ont augmenté de 5% en 2008 pour se chiffrer à 78,6 millions de dollars américains. La majeure partie de cette somme (89%) provient de son partenariat avec Google.

Exclusion faite des gains et des pertes de l'investissement dans le portefeuille de la fondation Mozilla, les revenus des activités opérationnelles ont crû de 18% par rapport à 2007, selon la présidente de Mozilla Corporation, Mitchell Baker.

La Fondation Mozilla est un organisme à but non lucratif qui gère le développement et assure la publicité des logiciels libres de Mozilla Corporation, dont le navigateur web Firefox et de la messagerie Thunderbird. Elle a succédé à Netscape Communications Corporation en 2003 et est financée à 85% par Google. Mozilla puise d'ailleurs une majeure partie de ses revenus de ses partenariats dans la recherche Internet avec le moteur de recherche. Une dépendance que Mitchell Baker souhaite réduire.

Alternative à Internet Explorer, Firefox est jusqu'à maintenant le plus grand succès de Mozilla. Après cinq ans d'existence, il compte aujourd'hui 330 millions d'utilisateurs dans le monde et a dépassé le milliard de téléchargements cet été.

 

Le moteur de recherche le plus utilisé au monde permet dorénavant d'accéder facilement aux données de la Banque mondiale.

En ce moment c'est un peu comme si un mouvement chez l'un ne pouvait que déclencher une réaction chez l'autre. Rares sont en effet les annonces concernant Bing qui ne sont pas suivies d'autres concernant Google, et vice versa.

On ne sait plus trop qui ouvre les hostilités en premier, mais alors que l'annonce d'un partenariat avec Wolfram|Alpha a été faite mercredi pour Bing, Google a annoncé pour sa part un accès plus facile aux données de la Banque mondiale. La portée de ces annonces n'est évidemment pas la même, mais l'essentiel semble être de faire parler de soi.

Le moteur Google expérimente cet accès aux données de la Banque mondiale depuis le mois d'avril 2009. Une phase bêta aujourd'hui devenue finale pour la version américaine de Google. Avec certaines requêtes, le moteur affiche ainsi au sommet de la page de résultats des informations extraites de la base de données de la Banque mondiale.

À titre d'exemple, il pourra s'agir de s'informer sur l'espérance de la durée de vie en France. Une requête " expectancy life france " permet d'afficher l'extrait d'un graphique représentant l'évolution de cette dernière à travers les années. Un clic sur ce graphique dirige l'utilisateur vers une page Web afin de glaner encore plus d'informations à ce sujet.

Microsoft vient d’annoncer la conclusion d’un accord avec Wolfram Alpha dans le but bien évidemment de tenter de réduire les parts de marché de Google dans le domaine des moteurs de recherche.

Bing va désormais intégrer les résultats de Wolfram Alpha lorsqu’il répond à une requête qui porte sur l’alimentation, la santé et les mathématiques avancées.

« Ils se servent sans payer ». C'est l'accusation qu'a lancée Rupert Murdoch, le patron du groupe de médias News Corp en parlant des moteurs de recherche. Il menace d'empêcher que les contenus de ses journaux (The Times, The Wall Street Journal, The Sun, The New York Post, etc.) soient accessibles sur Google, Ask ou MSN.

Il s'est ému, dans une interview sur la chaîne Sky News, de ce que les moteurs de recherche exploitent les contenus des médias et a souligné le manque de vigilance de ces mêmes médias.

Cette envolée s'inscrit dans une stratégie nouvelle, chez News Corp, consistant à vouloir faire payer les éditions en ligne des journaux. De son côté, Google a réagi en expliquant que les médias font ce qu'ils veulent avec leurs contenus et qu'ils peuvent donc très bien empêcher leur indexation sur les moteurs de recherche.

Décidement tout le monde en a marre de cette censure....Pour accéder à ce blog je vous raconte pas les magouilles que je suis obligé de faire, sachant qu'avec ma connection de merde je plante tout le temps...

La censure de sites Web pratiquée par des Etats constitue souvent une violation des règles de l'organisation mondiale du commerce, selon une étude de l'OMC. Car elle donne souvent un avantage concurrentiel à certains sites qui respectent les règles de censure imposées. C'est par exemple le cas du chinois Baidu, qui, selon cette étude, a ainsi pu dépasser Google en Chine.

L'OMC autorise toutefois les Etats à restreindre le commerce pour des raisons morales ou pour maintenir l'ordre, mais en matière de blocage de sites, elle appelle à un filtrage sélectif des contenus plutôt qu'un blocage permanent de sites, comme les moteurs de recherche ou les sites de partage photo.